L’agression et le viol de Théo Luhaka par des policiers ont créé une vague de révolte. L'état d'urgence, désormais permanent, remet en cause les libertés fondamentales des habitant‑e‑s des quartiers populaires et de tou-te-s. Contre les violences policières, l’impunité, les politiques sécuritaires et racistes, manifestons nombreuses et nombreux le 19 mars pour la justice et la dignité !
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